mercredi 18 octobre 2017

C'est reparti !



Mercredi 18 octobre


Debout dès 5heures. Dehors il fait grand nuit mais toujours aussi chaud pour la saison, comme tous ces derniers jours. J'ai fini de boucler les valises en essayant de ne rien oublier... de toute façon je m'en apercevrai bien assez vite ! Les livres, les vêtements, tout y est normalement. Deux grosses valises de 23kg chacune (les manuels sur les plantes prennent à eux seuls 13 kg !).

Blandine m'emmène à la gare. Il n'y a personne sur la route et on arrive bien à temps pour monter dans le train. Ma place est à l'étage alors je laisse mes bagages en bas. Du coup c'est vraiment parti !

A Roissy c’est au terminal 2C qu’a lieu l’embarquement pour Kenya Airways, la compagnie la moins chère pour ce vol en contrepartie décousu : arrêt à Nairobi pour commencer. 
 
Le panneau qui fait toujours rêver


 Je monte vers 11h30 dans un superbe Boeing 787-8 bien moderne.


L'attente de la montée à bord

La traversée des Alpes
 Il y a 7 heures de vol pour rejoindre la capitale de l’Ethiopie à la nuit tombée. Il fait 25°. Equipage sans chichi et très efficace, bouffe correcte. A côté et devant moi des suédoises en partances pour une mission humanitaire « féministe » de 10 jours. Excellent pour réveiller mon anglais, on arrive à se raconter nos boulots et ça fait passer le temps ! Une heure à attendre pour grimper dans un modèle plus petit (un Ambraer 90, deux nouveaux avions dans une journée c’est forcément une bonne journée) un avion de 90 places comme le nom y faisait penser. 

Au départ de Nairobi vers Moro
On se pose une première à Moroni capitale des Comores avant d’arriver à Antananarivo vers 3 h 15 du matin. L’intérieur de l’aéroport est très calme. Je paie les 80000 Ar de timbre de visa puis je récupère mes deux grosses valises avant de reprendre mon passeport. L’accueil est en cours de modernsation mais les ordinateurs ne marchent pas encore. Je prends un des taxis, de mieux en mieux organisés avec file d’attente et prix fixe (60000 Ar) pour la nuit. S’ensuit la traversée la plus rapide de Tana que j’ai jamais faite ! Pas un chat à cette heure là... vu l’heure c’est quand même normal. Je vais attendre dans le hall le taxi luxe qui va m’emmener à Antsirabe.

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